• le souvenir d'un futur,
    j'essaye de le noyer ...

    passe mon temps trop libre
    mon esprit si vide,
    mais non, mes pensées occupées
    par ce souvenir, vient me hanter.
    un infini limité sépare
    les mois d'une Trinité
    m'adresse au souvenir cavalier :
    cess de me torturer : part !

    alors je rêve d'une rose rouge,
    un bel inconnu me tend le main
    mon coeur s'emballe, tout bouge,
    main dans la main, la rose je tiens.
    mon inconnu, mon chevalier,
    viens à moi m'emporter
    loin du passé. toi et moi,
    dans ton rêve emmène-moi ...


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  • mes rêves sont blancs, la salle de charcuterie. moi la fille-poupée, ablation du coeur. mon corps sali, organe meurtri. je ne veux qu'effacer mes erreurs.

    seule à quatre dans un monde. tout un domaine dans la tombe.
    ouvre mon crâne et frappe, achève-moi crève-moi; avant que la Trinité ne t'attrapes...

    mon âme déchirée, je n'en peux plus. immonde tout se déforme, lasse d'une vie déjà vécue. immonde tout se déforme ...


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  • je pensais pouvoir regarder
    je pensais savoir oublier
    je pensais à le pardonner
    je pensais au mot " aimer" ...

    je pensais ... ne vois pas
    n'entends-pas
    ne peux plus
    ne se bat plus

    "égoïste, et le reste"
    lacher du leste
    laisser moi m'envoler
    laisser moi oublier !
    par pitié !
    laisser moi crier
    courir
    sauter
    vomir
    pleurer !

    pourquoi ?
    moi MOI moi moi

    rage et épuisement
    la pute tombe
    l'inpure sombre
    rage et épuisement

    pourquoi ? je n'ai pas voulu le blesser , je ne veux plus pleurer, je veux m'endormir, vomir un amour et une haine trop présents, vomir mes sentiments !
    moi l'enfant ange pute poupée , arrêter de me considérer pantin, avec l'apparence d'une bête sanguinaire j'ai les sentiments d'un humain ! quelqu'un entend-t-il mon message ? quelqu'un a-t-il vu ce détail ? celui que je cache au fond de moi ?
    je me prend à rêver d'une amnésie, doux remède à mon mal, bonne nouvelle , c'est un rêve ! FUIRE !
    et vous , lui , les reproches , les larmes et le sang , sont-ils mon rêve ? NON !
    je ne demande rien, jugez-moi, trahissez-moi, salissez-moi, mais après , partez ! laissez-moi ! j'aime bien ce mot : adieu ! QUI LE COMPREND ?

    à vous tous ! soyez présents mais pas geôliers !

    la poupée a parlé ...


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  • payer les conséquences ...
    notion sans sens !

    rage et colère !
    je manque d'air
    étouffée par les sentiments
    envie de
    crier
    la haine que je ressens
    envie d'hurler.
    extérioriser
    l'incontenable
    le sourire insoutenable
    le regard sombre
    armée de mon ombre.

    j'affronte , relève la tête
    je ne veux pas de défaite
    un prix à payer
    qui n'était
    pas mien
    moi l'accusée
    je te rends ton bien !

    prend le, pars, ne te retourne pas , ne me vois pas ! je ne
    veux plus ; la souffrance me fais rire, m'anestésie, douce
    Trinité !

    contre le vent, avance,
    contre ta violence
    bas toi
    ne flanche pas

    poupée achevée
    renaît !
    attention
    départ de fictions !


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  • le pardon sans l'oubli
    pas de regret pour mes mots
    juste une fin qui s'annonce ...

    "il fait froid quand on meurs ? "
    je suis glacée ...
    tout comme le coeur
    que je ne veux plus posséder.
    tremblements et visions d'horreur
    je plonge dans le sang
    éclabousse mon autel
    s'acharne sur nous ...
    tremblements et visions d'horreur
    la fatigue me domine
    la folie arrive
    approche à grand pas ...
    j'entends sonner mon glas

    visage de la fille
    angoissée, torurée ...
    ma drogue, mon passé
    tomber ... morte ... ici

    les jambes flanchent sous le poids
    des erreurs et des accusations.
    COUPABLE ! oui ... moi, moi, MOI !
    mutiler son âme comme punition ...
    alors je me sentirai mieux ...
    les yeux fixés vers les cieux ...

    je les ferme, tiens la lame, découvre mon bras...
    un spectacle horrible,
    un somnifère morbide

    pardon, mais l'envie est plus forte que ma raison ...
    cessons le combat contre une fatalité, cessons ...

                                                              PARDON .


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